Pour Jérémy, qui maintient à côté son activité plus centrée sur le marché secondaire, le street art est « ni élitaire, ni élitiste ».
Gil continue en parallèle son activité de sourcing pour la chaîne de boutiques de décoration familiale dont il a la charge.
Ils nous parlent leur projet de promouvoir les artistes de la culture urbaine, comme L’Atlas, Tanc ou encore Johanna Tordjman.
Découvrez cette alchimie qui a pris assez vite entres eux.
On les écoute