Bonjour à tous, une nouvelle semaine s’ouvre, merci de votre fidélité au flash quotidien des expatriés. Ce lundi 26 février, dans nos titres : Venir en France pendant les JO ? Bonne ou mauvaise idée ? – Un salon de l’agriculture difficile pour Emmanuel Macron – Libre échange agricole, les Français tirent leur épingle du jeu.
Aller en France cet été ?
Les JO vont engendrer de nombreuses restrictions de circulation dans la ville, l’explosion de certains tarifs, et bien d’autres ennuis. Pas de vol à moins de 1000 euros, des nuitées hors de prix, les transports en commun impayables, Paris, comme toutes les villes olympiques, s’annoncent inaccessibles pendant les Olympiades. Pourtant, juillet-aout est la période où les expatriés rentrent au pays. Pour éviter tous désagréments, il est conseillé de prendre ses dispositions dès maintenant voir de décaler son séjour.
Un déplacement sous haute tension… avec des annonces
Samedi 24 février, alors qu’il était venu inaugurer le Salon de l’agriculture, Emmanuel Macron a été chahuté à son arrivée Porte de Versailles (Paris). Ce qui ne l’a pas empêché d’aller à la rencontre des professionnels du secteur avec qui il s’est longuement entretenu. Le président de la République a profité de cet échange pour divulguer cinq mesures qui seraient prises pour venir en aide au secteur agricole, en proie à de grandes difficultés financières.
Ukraine, Mercosur, Afrique, les Français sont présents
Si les tensions sons si nombreuses avec le monde agricole, c’est que le secteur français a du mal à intégrer les nouveaux paramètres. Enfin, pas tous, nos compatriotes profitent aussi des nouvelles opportunités. En Ukraine, les céréaliers français ont construit des fermes géantes, qui aujourd’hui, compensent les pertes des établissements français, leur permettant de maintenir leur activité dans l’hexagone. En Amérique Latine, nos écoles et experts ont envahi les centres de formation et sont en première ligne pour construire l’agriculture de demain dans ces pays. Tandis qu’en Afrique, les expatriés, sur place parfois depuis plusieurs générations, se sensibilisent aux enjeux sociaux écologiques et transforment leurs outils de production. Si ces accords posent des questions, ils donnent accès aussi aux marchés mondiaux à nos meilleurs acteurs.
C’est tout pour aujourd’hui, on se retrouve demain pour un nouveau bulletin des Français de l’étranger