L’ancienne eurodéputée est désormais secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux. Cette Franco-Grecques de 46 ans est chirurgienne et gynécologue de formation. C’est d’ailleurs Chrysoula Zacharopoulou qui a fondé l’association Info-endométriose en 2015. Certainement un lien avec la volonté du Chef de l’Etat d’améliorer le diagnostic et la reconnaissance de l’endométriose, dès janvier dernier. D’abord nommée Chevalière de l’ordre national du Mérite en 2017, elle s’engage en politique, avec La République En Marche, lors des européennes de 2019. Elue, elle continue d’exercer son métier à l’hôpital la semaine.
Une médecin qui est cependant visée par 3 plaintes pour viol. La première a été déposée 5 jours après sa nomination, le 20 mai dernier. Puis une deuxième, 3 semaines plus tard. Selon l’hebdomadaire Marianne, les faits concerneraient une femme majeur. LE 23 juin, une troisième plainte est déposée, pour des faits de violences sans incapacité de travail, par une personne chargée d’une mission de service public.
Concernant la Francophonie, cette fois, Bercy voudrait s’inspirer du Commonwealth pour créer un espace économique fort de plus de 500 millions de consommateurs, liés par la langue française. Des travaux présentés lors de la 77ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations la semaine dernière entre le Président de la Commission de la Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC) Gilberto da Piedade VERISSIMO et la Secrétaire générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF),Madame Louise Mushikiwabo. Un travail qui reposera notamment sur : la prévention des crises, la gestion des conflits et le maintien de la paix ; la consolidation des processus démocratiques ; l’égalité entre les femmes et les hommes ; le soutien à la jeunesse à travers l’éducation, la formation et l’entrepreneuriat ; l’intensification des échanges commerciaux et des investissements entre pays et régions francophones, ainsi que l’amélioration du climat des affaires pour favoriser l’entrepreneuriat et attirer les investisseurs ; le développement de la transformation numérique et de l’innovation ; la promotion des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ; la promotion du développement durable et, notamment, la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, et les objectifs de développement durable, en particulier au bénéfice du Bassin du Congo. Affaire à suivre, mais le mauvais signal envoyé, c’est qu’elle n’a pas été conviée…