Coronavirus
558 cas officiellement signalés hier mercredi à Hong Kong, dont 63 cas importés
23 autres écoles de médecine étrangères reconnues par Hong Kong
Le gouvernement a annoncé hier, mercredi, que les médecins diplômés de 23 universités non locales pourront demander à exercer à Hong Kong.
En avril, les autorités avaient reconnu les qualifications des médecins non locaux issus d’un premier groupe de 27 écoles de médecine étrangères, les dispensant d’un examen d’autorisation pour exercer localement, dans le but de remédier à une pénurie chronique de main-d’œuvre.
Ce dernier groupe comprend sept universités aux États-Unis, sept au Royaume-Uni, cinq en Australie, deux au Canada, une en Chine et une en Afrique du Sud.
C’est également la première fois qu’une université continentale figure sur la liste – établie par un comité nommé par le gouvernement et chargé d’examiner les programmes proposés par les écoles de médecine non locales, avec une qualité comparable à celle des programmes proposés à Hong Kong.
Le prix des sacs en plastique à 1 HKD
Dans le cadre du plan directeur sur les déchets pour Hong Kong 2035 visant à une drastique réduction des déchets, le gouvernement a annoncé hier que le processus législatif visant notamment à adopter une augmentation du prix des sacs en plastique, passant de 50 centimes à 1HKD et à mettre en œuvre un système de responsabilité des producteurs sur les récipients à boisson en verre avait été lancé.
Après l’adoption des amendements législatifs, les professionnels et le public auront jusqu’au 31 décembre pour se préparer à ces nouvelles dispositions.
De vieilles machines à laver recyclées… en briques
Une start-up de Hong Kong s’est associée au promoteur Sino-Group pour recycler les déchets plastiques en matériaux de construction durables.
Le fondateur d’EcoBricks, Shervin Sharghy, a déclaré à l’émission Hong Kong Today de RTHK que son entreprise recyclait le plastique pour en faire des matériaux de qualité supérieure, conformes ou supérieurs aux normes locales et internationales. Il a décrit un projet mené sur la Gold Coast où 560 vieilles machines à laver ont été utilisées pour créer plus de 15.000 “briques de pavage écologiques”.
Ce projet a permis de recycler 5,4 tonnes de déchets plastiques en une seule fois, a-t-il précisé, ajoutant que les visiteurs de ce site – et d’autres à Olympian City et au Fullerton Ocean Park Hotel – peuvent “marcher sur nos briques et ne pourront pas faire la différence entre les nôtres et les briques conventionnelles”.
Shervin Sharghy a déclaré qu’EcoBricks envisageait de quitter Hong Kong pour s’étendre à “tous les pays qui connaissent des problèmes de déchets plastiques”.
Covid-19 en Chine: les kiosques à PCR fleurissent dans les mégalopoles du pays
Information de RFI
La demande pour ces cabines de tests mobiles dans les mégalopoles chinoises a doublé ces dernières semaines.
Ces « kiosques d’échantillonnage Covid » ou « conteneurs à PCR » se multiplient depuis que la commission nationale de la santé a appelé le 15 mai dernier à ce que chaque citoyen puisse se faire tester à moins de 15 minutes à pied de là où il se trouve.
Dans la Chine qui déconfine, les tests d’acide nucléique 48 ou 72 heures sont non seulement obligatoires pour pouvoir accéder aux lieux publics, mais ils font également partie intégrante du crédo de la politique sanitaire. Le marché selon certains analystes approche les 10 milliards de yuans, soit plus d’1,4 milliard d’euros.
Les secteurs de l’électroménager, des imprimantes 3D, de la construction automobile qui travaille aussi avec l’acier, sont sur les rangs pour décrocher les appels d’offres venus de toute la Chine. 9 900 de ces cabines de tests « sans contact » ont déjà été installées à Shanghai, selon le magazine Caixin.
Leur invention remonte à mars 2020 en Corée du Sud en mars 2020. Deux ans après le début de la pandémie, elles poussent comme des champignons en Chine. Un signe que la stratégie antiépidémique chinoise « Zéro Covid » est là pour durer. Depuis l’hiver 2020 jusqu’au printemps 2022, plus de 11,5 milliards de PCR ont été réalisés dans le pays, pour un coût estimé à environ 300 milliards de yuans – plus de 42 milliards d’euros.
Un coût très élevé pour les caisses d’assurance, mais surtout pour les collectivités locales qui imposent ces campagnes de dépistage à la population, en subventionnant les prélèvements.
(Photo source Bloomberg)
Actualité de la communauté
Café du vendredi de HK Accueil
Attention le rendez-vous hebdomadaire de l’association a changé de milieu.
Le café accueil est toujours le vendredi de 10h à midi mais a lieu désormais chez Emmer au niveau 4 de Pacific Place.
L’occasion de partager un moment convivial autour d’un café et faire connaissance en échangeant bonnes adresses et infos…
Ouvert à toutes et à tous, nouvel arrivant ou plus anciens, membres ou pas.
Enfin la météo avec des températures qui iront de 25 à 28° et toujours de la pluie. Aujourd’hui jeudi 9 juin, nous fêtons les « Diane ».
